CHAPITRE IV

Sommaire

Pernelle de Brichanteau. - Partage entre les enfants de Pierre Leprince.

Après la mort de Pierre Leprince, Pernelle de Brichanteau, sa veuve, ayant la garde noble de ses enfants mineurs, fut chargée de l'administration des seigneuries de La Norville, La Bretonnière, La Briche, Guillerville, et des immenses propriétés de son mari défunt. En 1505, Louis de Brichanteau, son frère, lui céda le fief de Roinvilliers ou des Marchands, sis à La Norville, qu'il avait acheté, le 4 mars 1504, à Louis de Ginrant. Ce fief, d'une contenance de 24 arpents, était situé au-dessous de lieu seigneurial de La Norville, entre les deux chemins de Châtres à La Ferté et de Châtres à Leuville, dans la partie basse du parc actuel, au-dessus d'Arpajon. Le 12 janvier 1508, elle hérita de la seigneurie des Granges, par suite du décès de Charles de Brichanteau, son père. Jusqu'à sa mort, arrivée vers 1524, elle s'appliqua continuellement à agrandir ses domaines et fit de nombreuses acquisitions, en particulier sur le territoire de La Briche. A la mort de Pierre Leprince, cette seigneurie, mouvant de l'amiral de Graville à cause de son château de Saint-Yon, ne contenait que 120 arpents de terres labourables, un arpent et demi de vignes, 80 arpents de bois ; à la mort de Pernelle de Brichanteau, elle comprenait 116 arpents, 85 perches(a) de terres labourables ; 170 arpents 95 perches de bois, un arpent de vignes et 7 quartiers de pré, soit une augmentation d'environ 90 arpents par suite d'achats(1).

Ce fut du temps de Pernelle de Brichanteau que le roi Louis XII fit quelque séjour à Châtres, d'où il adressa au parlement, le 5 novembre 1514, des lettres ayant trait à la prorogation de cette compagnie(2). D'après l'abbé Leboeuf, Pernelle de Brichanteau fut inhumée dans la chapelle du Château de La Bretonnière, à côté de son mari ; mais cet historien se trompe d'une manière fort étrange en donnant l'année 1500 comme date de cette inhumation. Les titres analysés ci-dessus le montrent d'une manière évidente.

De grandes et de longues contestations s'élevèrent entre ses enfants lorsque vint le moment de procéder au partage de sa succession. L'un de ses gendres, Jean de l'Estendart, était, à la fin de 1524, en procès à cet effet contre le fils aîné, Charles Leprince. Le 24 janvier 1525, le Châtelet de Paris rendit une sentence qui leva toutes les oppositions et ordonna le partage en six lots des biens laissés vacants. Après cette date, il y eut encore quelques comparutions ; mais enfin les héritiers se décidèrent à mettre la main à œuvre. Tout d'abord ils voulurent prendre connaissance des inventaires, papiers, titres de propriété, etc..., déposés à l'hôtel seigneurial de La Bretonnière, et, dans ce but, s'engagèrent à se transporter dans cette localité, le 25 février suivant, en la compagnie d'un commissaire délégué par le Châtelet.

En ce jour tous comparurent, excepté Jean de L'Estendart et sa femme, qui n'envoyèrent même pas de procureur. Les héritiers présents demandèrent défaut contre eux et réclamèrent des dommages-intérêts pour le retard apporté volontairement au partage, retard qui était cause de la décadence et ruine des propriétés, et aussi pour les dépenses faites en voyages inutiles. Charles Leprince voulait même qu'on passât outre. Le commissaire du Châtelet, moins pressé ou moins irrité, décida qu'une assignation serait derechef envoyée audit l'Estendart pour comparaître à La Bretonnière le huitième jour de mars, à deux heures de l'après-midi, sous peine de cent livres parisis d'amende à payer au roi. La même assignation fut donnée aux enfants présents, sous la menace de la même peine et obstant l'absence desdits défaillants au partage, le procureur du châtelet s'en retourna à Paris.

Le jeudi 8 mars, le commissaire et tous les héritiers, même Jean de l'Estendart, comparurent à La Bretonnière. Ce dernier, oublieux ou mal intentionné, n'avait pas amené son conseil avec lui. Il demanda une remise de quelques heures. Cette remise lui fut accordée à une heure de l'après-midi; on attendit jusqu'à six heures du soir et personne ne vint. Le lendemain, disputes et querelles. Cependant l'accord se fit; mais, tout d'abord, Charles Leprince exigea que chacun fit rapport de ce qu'il avait précédemment reçu. Il fallut passer sous ces nouvelles Fourches Caudines. Le sieur de Mérainville et sa femme rapportèrent la somme de 700 livres tournois reçues en mariage; le sieur Le Gabilleux et sa femme, 900 livres reçues de même; demoiselle Jeanne Leprince, dame de Rouville, 1 050 livres reçues de même ; le sieur Jean de l'Estendart, 1 500 livres tournois reçues de même.

Ensuite on passa à l'examen des titres et des estimations des biens précédemment faites. Les déclarations, arpentages, mesurages, prisées des héritages et successions, l'estimation de leurs revenus annuels tant en grains qu'en deniers, les pièces originales transcrites à la suite furent apportés par le sieur de Mérainville qui les avait en sa possession. Ces pièces et titres furent examinés par le commissaire du Châtelet et le sieur de Mérainville.

Le 11 mars, visite fut faite des biens et division des lots. Le lendemain 12, on manda noble homme Robert de Précy, seigneur de Guigneville et de La Tour les difficultés s'ils s'en trouvait. Le 14 mars, les sieurs de l'Estendart, Le Gabilleux et de Mérainville réclamèrent l'adjonction d'un autre juge ; fut choisi François de Fleury, seigneur de Fleury. Alors, les mêmes héritiers présentèrent par écrit un certain nombre de difficultés se rapportant pour la plupart aux biens acquis par leur mère durant son veuvage. Les arbitres ayant donné leur sentence, les sieurs de l'Estendart, Le Gabilleux, de Mérainville, ne voulurent pas s'y soumettre, et, malgré l'opposition de Charles Leprince, on résolut de faire trancher le différend par des avocats choisis au Châtelet de Paris.

Le 15 mars, dans la soirée, le commissaire du Châtelet, Charles Leprince, Le Gabilleux et de Mérainville se rendirent à Paris. Le 16, eut lieu la consultation donnée par les avocats Frolo, Potdevin, Vixveur, Raboutier et Chameau. Leur décision fut apportée à La Bretonnière. De nouvelles contestations s'élevèrent à propos des droits de l'aîné. Le commissaire du Châtelet reconnaissant son impuissance, après tant d'efforts inutiles, renvoya les parties se pourvoir devant le prévôt de Paris.

Les partages furent suspendus et la querelle dura pendant un an. En 1526, le commissaire du Châtelet reçut une lettre de Charles Leprince qui l'invitait à se rendre à Montfort-l'Amaury, le 25 janvier, pour y trouver les sieurs Le Gabilleux, Pierre Leprince, et de Mérainville, et pour de là se transporter à Heurteloup, prés Mantes, chez le sieur de Flexanville, afin d'y parachever le partage commencé l'année précédente.

Le 25 janvier, le commissaire se rendit à Montfort-l'Amaury, à l'hôtellerie du Cheval-d'Etain. Là, il trouva le frère et les beaux-frères de Charles Leprince. Ensemble ils allèrent à Heurteloup, en l'hôtel seigneurial de ce lieu, et alors fut définitivement consenti le partage des biens du défunt Pierre Leprince et de la défunte Pernelle de Brichanteau.

Les biens et les revenus composant cette succession étaient considérables. En dehors du lieu seigneurial, château et parc de La Bretonnière et de l'hôtel seigneurial de La Briche, il y avait à partager : à La Bretonnière, des bâtiments, estimés par Guillaume Lestors, demeurant à Dourdan, et Jean Lyrot, demeurant à Sermaise, maîtres charpentiers jurés au bailliage de Dourdan ; Jean Robert, demeurant à Sainte-Mesme, et Denis Thomas, demeurant à Dourdan, maîtres maçons jurés au même bailliage, à la somme de 5 écus d'or 64 livres 15 sols tournois ; - 123 arpents de terre labourable, rapportant chaque année 6 muids(b) 2 septiers 5 boisseaux(c) et deux tiers de boisseau, en parties égales de méteil(d),seigle et avoine; - 4 arpents, aux Bois-Défendus, rapportant 7 boisseaux l'arpent, moitié seigle et moitié avoine;- une saulsaie ; - des terres au-dessous des jardins ; - le jardin de la Fontaine - le jardin sous la chaussée de l'Etang ; - la terre du Champ de Foire, estimés à 8 livres 14 sols 9 deniers oboles tournois de revenu annuel ; - 111 arpents 78 perches de bois ; - 28 arpents 67 perches de pré ; - 13 arpents 44 perches de vignes ; - les censives de La Bretonnière, moins celles des terres du domaine, montant à 38 livres 18 sols 5 deniers tournois ; - les censives des Grillières, montant à 16 sols 2 deniers tournois ; - les cens de la rue du Clos, à Châtres, montant à 50 sols 2 deniers tournois ; - les cens de la boucherie de la même ville, ceux de la Saint-Blaise, montant à 64 sols parisis, et ceux de la Saint-Rémi, montant à 20 sols parisis; - le jardin Sallet, de la contenance de 59 perches ; - un autre jardin et masure contenant 89 perches ; - un troisième jardin et masure contenant 23 perches ; - le pressoir, d'un revenu annuel de 100 sols tournois ; - la foire, rapportant également 100 sols tournois ; - l'étang et le moulin, d'un égal rapport ; - la justice et le droit de retenue, rapportant 10 livres par an ; - les fiefs dépendant de La Bretonnière et des Granges au nombre de treize, dont douze entiers et considérables, le fief de Brécourt étant en domaine ; - quelques cens à Vallorge, Marolles, Brétigny et Marcoussis;
Les Granges : Le lieu, motte, jardin et fossés; - un arpent de vigne ; une maison et jardin dans la rue de Saint-Germain, à Châtres ; - le droit de pêche dans la rivière de Châtres ; - la justice des Granges, moyenne et basse ; - 10 livres de cens et rentes ; - 110 sols tournois de rente sur le fief de Brichanteau ;
Le moulin de Franchereau, baillé à perpétuité pour 2 muids de méteil de redevance annuelle, 20 livres tournois de rente, 6 poules et un gâteau aux rois ; - 2 muids de grains de rente par tiers froment, méteil et avoine, sur le pont de pierre;
A la Maison-Neuve : Maison et bâtiments estimés 3 écus d'or 96 livres 2 sols 6 deniers tournois ; - 221 arpents 48 perches de terres labourables, rapportant 7 boisseaux l'arpent, mesure de Montlhéry, les deux tiers de méteil et le tiers d'avoine, produisant annuellement 10 muids 11 septiers 11 boisseaux ;
Au Grand-Cochet : Des bâtiments estimés 4 écus d'or 88 livres tournois ;
Au Petit-Cochet : Des bâtiments estimés 4 écus d'or 66 livres 5 sols tournois ; - 164 arpents 66 perches de terres labourables et trois jardins rapportant 8 boisseaux l'arpent, les deux tiers de méteil et le tiers d'avoine, au total 9 muids 5 septiers 4 boisseaux et demi ; - 140 arpents de ces terres, le manoir, les jardins et 4 livres parisis de menus cens avaient été baillés, pour une rente annuelle et perpétuelle de trois septiers de blé, au fermier Péningle, par Michel de Saint-Laurent qui, de son côté, était tenu d'en rendre foi et hommage au seigneur de La Bretonnière. Le reste des terres avait été, avant 1525, en la censive du seigneur de Bruyères-le-Châtel ; en 1527, il était remis en plein fief ;
A la Maison-Rouge : 115 arpents 6 perches de terres labourables, rapportant 7 boisseaux l'arpent, les deux tiers de méteil et le tiers d'avoine ; - 12 arpents de bois ;
A Brécourt : Un maison et une grange estimées 149 livres 7 sols 6 deniers tournois ; - 102 arpents et demi de terres labourables, produisant 7 boisseaux l'arpent, en tout 4 muids 11 septiers 9 boisseaux, les deux tiers de méteil et le tiers d'avoine ;
A La Briche : Des bâtiments, non compris l'hôtel seigneurial, estimés 2 écus d'or 77 livres tournois ; - 116 arpents 85 perches de terres labourables, produisant 6 muids 9 boisseaux, les deux tiers de méteil et un tiers d'avoine ; -172 arpents 95 perches de bois ; - 7 quartiers de pré à Rymoron ; - un arpent de vigne ; - 7 livres 12 sols 5 deniers tournois de censives, - 9 poules ; - le fief d'Etrechy, tenu par Robin Mollet ; - la Justice et le pressoir ;
A Guillerville : Des bâtiments estimés 6 écus d'or 84 livres 2 sols 6 deniers tournois ; - 223 arpents 95 perches de terres labourables, produisant 11 muids 10 septiers 6 boisseaux, mesure de Montlhéry ; - 21 arpents 5 perches de bois ; - un arpent de friches ; - les censives de Mauchamps et de Guillerville, montant à 36 sols 9 deniers tournois ; - 3 sols 34 deniers 12 oboles parisis d'autres cens, - et la justice;
A Basville et La Folleville : Des bâtiments estimés 4 écus d'or 20 livres tournois ; - 55 arpents 39 perches de terres labourables, produisant 2 muids 10 septiers 10 boisseaux ; - 8 arpents de pré sur la rivière de La Folleville; - un arpent et demi de bois ; - le fief de Boissy ; - la justice de la prévôté ; - le greffe ; - un septier de blé de rente annuelle sur le moulin de la Boissière ; - 2 muids de grains : froment, méteil et seigle, sur le moulin et la forge de La Folleville ; - 56 sols 11 deniers parisis de rentes ; - 34 livres 10 deniers obole pite de censives à Basville et à La Folleville ; - 100 sols de rentes sur un particulier ; - 6 poules et 5 chapons ;
A La Norville : Une grange, des étables couvertes en chaume, des étables neuves couvertes en tuiles, un colombier et deux toises de maçonnerie estimées 12 sols 6 deniers tournois la toise, 57 000 tuiles, estimées 40 sols tournois le mille, le tout charpenté, fenêtres cheminées, portes et enduits compris, évalué à 6 écus d'or 17 livres tournois ; - un jardin, entouré de fossés, attenant à la maison, d'un rapport annuel estimé à 35 sols tournois ; - un autre jardin avec cour, nommé le fief de La Norville, contenant un arpent et demi, d'un rapport annuel estimé à 35 sols tournois ; - la garenne du Rossay, contenant 2 arpents, d'un rapport estimé à 22 oboles tournois ; - 72 arpents 64 perches de terres labourables, d'une part, produisant 8 boisseaux l'arpent, à parties égales de froment, méteil et avoine, en tout 4 muids 4 boisseaux deux tiers ; - 12 arpents, d'autre part, achetés aux Burgevins, 7 arpents et demi rapportant 8 boisseaux l'arpent, et 4 et demi rapportant seulement 6 boisseaux de seigle ; - 3 arpents et demi de pré en deux pièces, partie en la censive des Granges, partie en la censive de La Bretonnière, rapportant 55 sols tournois l'arpent ; - 13 livres 8 sols un denier tournois provenant des devoirs féodaux ; - les censives jointes à celles de La Bretonnière,-et toute la justice ;
Au total : 1 206 arpents 34 perches de terres labourables ; - 307 arpents 28 perches de bois ; - 44 perches de vigne ; - 3 arpents et demi de friches ; - un grand nombre de rentes, censives et produits divers rapportant 1 070 livres 28 sols 4 deniers tournois par an ; le muid de froment se vendant alors 12 livres tournois, le muid de méteil 10 livres, le muid de seigle 8 livres, et de muid d'avoine 6 livres.

Ces biens ayant été partagés en six lots, les deux fils Charles et Pierre Leprince furent avantagés. Charles, l'aîné, eut pour sa part :
1° La terre et seigneurie de La Bretonnière, cens, rentes, justices, droits et devoirs en dépendant ; 2° La terre et la seigneurie de La Norville, tant en fief qu'en roture;
3° Le moulin de Franchereau et cinq arpents de terre ;
4° Le fief et les censives des Granges ;
5° La Maison-Rouge et ses appartenances ;
6° Le fief de Brécourt et ses appartenances;
7° La garenne de La Bretonnière ;
8° Le bois des Fourneaux ;
9° Les grands bois près Cochet et la Maison-Rouge ;
10° 70 arpents 50 perches de bois-taillis à La Briche; le tout estimé d'un rapport annuel de 466 livres 8 sols tournois.

Pierre Leprince, fils puîné préleva :
1° La terre et seigneurie de La Briche ;
2° 39 arpents 87 perches et demi de terres à la Maison-Neuve;
3° 11 arpents 25 perches de bois à La Briche ;
4° Un arpent et demi de haut bois au même lieu ;
5° 14 arpents de bois-taillis au même lieu ; le tout estimé à 138 livres 18 sols 4 deniers tournois de revenu.

Le surplus des biens, estimé à 466 livres 2 sols tournois de rente fut partagé en quatre lots égaux. Le premier lot échut à Jean de Mérainville et à Marguerite Leprince, sa femme ; le second à Jacques Le Gabilleux et à Marie Leprince, sa femme; le troisième à Jean de l'Estendart et à Louise Leprince, sa femme ; le quatrième à Jeanne Leprince, veuve de Louis de Boissy.

A la suite de ce partage, il y eut quelques stipulations. Entre autres choses, il fut accordé par les cohéritiers à Jacques Le Gabilleux, écuyer, seigneur d'Intreville, de pouvoir bâtir ou faire bâtir et édifier une chapelle dans l'église de La Briche, à droite du chœur, du côté du presbytère et du village, d'en faire le lieu de sa sépulture, d'y mettre ses armes, de la faire clore et fermer, sans que cette permission toutefois put lui donner, en dehors de cette chapelle, aucun droit de prééminence sur le seigneur de La Briche(3).

L'église de La Briche et la chapelle de Jacques Le Gabilleux ont depuis longtemps disparu. La seigneurie elle-même n'est plus entre les mains des Leprince, bien qu'elle soit demeurée pendant de longues années en la possession de leurs descendants. Pierre Leprince, frère du seigneur de La Norville et de La Bretonnière, de son mariage avec Louise de Languedoue, eut un fils qui mourut sans postérité ; une fille nommée Anne, qui épousa, le 29 septembre 1549, François de Chartres, seigneur de Cherville ; et une autre fille, Gabrielle Leprince, qui épousa Etienne de Saint-Pol, seigneur de Harcourt(4). La Briche, par Gabrielle Leprince, passa dans la famille des Saint-Pol, dont les membres habitaient encore il y a quelques années le pittoresque et vieux château de Pierre Leprince et de Pernelle de Brichanteau.

(1) Archives du château de La Norville.
(2) LEBOEUF.
(3) Archives du château de La Norville.
(4) Bibliothèque nationale, Manuscrits.

(a) Il y a 100 perches dans un arpent.
(b) 1 muid = 274 l pour le vin.
(c) 1 boisseau = 12,5 l.
(d) méteil = mélange de seigle et de froment.

(M.A.J. 19/08/2001)

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